top of page
Paréidolie débute en 2019.
À partir de peintures du XVIème siècle, j'ai cherché à mettre en confrontation le placement de formes et l'attitude de se fier au hasard pour qu'autre chose se manifeste. Une certaine énergie se déploie, comme quelque chose qui serait en train de se déplier, se replier, de se découvrir. C'est ce croisement entre figure et hasard qui donne forme à ce qui n'en a pas. Des corps semblent s'entremêler puis deviennent matière organique. Les éléments s'entrechoquent et dialoguent : ainsi, du corps et de l'organique se juxtaposent avec du rugueux, des textures et des volumes différents.
Paréidolie (Poussin), (détail)
mine graphite sur papier Hahnemühle,
150 x 100 cm
bottom of page